Régate de ferries à Ajaccio…….. Chi tanti formula uno!

Régate de ferries à Ajaccio…….. Chi tanti formula uno!

Dans les stands,



vroumm,  vroumm,



un coup de corne de brume: Let’s go!



on prend de la vitesse ……. le panache s’incline…



….deux panaches inclinés…..



….un virage…



…à la corde…..



…ou plutôt au bout…



…on braque à fond…



… on vire de bord….



…machines toutes…



….enfummmmé!

Cette belle régate a duré de 13h21 à 13h23, le 5 août 2009.

Ajaccio Sposata était encore aux abonnés absents!


Elles aussi elles assurent…..mais elles assurent en permanence!

2 réflexions sur « Régate de ferries à Ajaccio…….. Chi tanti formula uno! »

  1. Ce reportage est vraiment très instructif sur la réalité de la quotidienne constante pollution ajaccienne et sur deux de ses causes dont la moins visible de jour n’est pas forcément la moins insidieuse ainsi que sur la fiabilité des mesures de Qualitair.
    La direction du panache dans les et à la sortie des stands malgré le sens de la course ne laisse aucun doute sur les zones les plus polluées ou en ce qui concerne par exemple les PM10 la première cabine de mesure, celle de Sposata, s’arrête par miracle de les mesurer automatiquement alors que celle de Piataniccia n’est pas équipée pour les mesurer.
    Peut être que la station Sposata sature et se déconnecte automatiquement à moins qu’elle soit commandée depuis la capitainerie du port d’Ajaccio ou que comme pour le Vazzio les phases de démarrage ne soient pas comptabilisées dans les émissions.

  2. Salut Corneille,

    Ravi de constater que cette petite régate vous ait plu et de constater que votre analyse de ces quelques clichés mis bout-à-bout rejoint la notre sur le fond:

    Sposata est le seul indicateur disponible des mouvements de la pollution qui se déplace, sous l’effet des vent dominants, de la ville vers la vallée de la Gravona. Piataniccia diposant pas de mesure des PM 10.

    Les clichés le montrent assez bien.

    Donc Sposata en panne, notamment lors des épisodes forts, ça pose un vrai problème de crédibilité pour un dispositif de surveillance déjà trop limité.

    Quand à l’explication sur les zones d’ombres, il appartient aux techniciens d’y apporter réponses et à minima remède. Ca fait quand même un moment que ça dure.

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