Gaz pour la Corse: Alger……… rien!

Gaz pour la Corse: Alger……… rien!

Photovoltaïque………. volte-à-hic sur la photo!

M
France 2 reconnaît avoir surestimé de 2764 fois la surface nécessaire pour produire 100% de l’électricité française avec le solaire.
MM
M
Très curieusement on ne connait pas d’exemple, en matière de nucléaire, d’info pas vérifiée qui pourrait desservir la cause du puissant lobby, comme en l’occurence elle dessert celle des ENR. Car lorsque le coup est parti, il est difficile de le retenir, même avec un démenti……….d’autant qu’il y a un précédent! 

 

Merci à notre ami Jacques, apiculteur et castenéiculteur à Tavera, pour cette info.

Prix du gaz: les algériens ne sont pas d’accord  

Prix du gaz: l’Etat serait responsable?  Ca commence toujours comme çà …………En son temps Christine Lagarde avait également élevé la voix contre les demandes jugées excessives d’EDF.  

L’un dans l’autre, les ultra libéraux finissent toujours par s’abandonner aux lobbies, juste après avoir protesté.

Tchernobyl 25 ans Actions

 Vues de la Centrale de Fukushima.   

11 réflexions sur « Gaz pour la Corse: Alger……… rien! »

  1. hé oui, jako titi, tes potes de londres se gavent, la preuve:

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco...

    avant de te prendre une douche écossaise, saches que tes autres potes de l’ump viennent d’interdire l’exploration des gaz de schistes en france, alors ton fioul lourd on the road again, il a du plomb dans l’aile!!!

  2. En matière d’invention de mot, on pensait avoir tout "VU A LA TELE!!!", mais France 3 corse a dépassé le mur son en la matière.
    A se demander comment on peut transformer "enquête épidémiologique" des cancers de la thyroide en "enquête épistémiologique". Auteur de ce prix lépine tv 2011, marie-france ( écouter la perle entre l’intervention de FG et PG):
    corse.france3.fr/info/le-…

    Chapeau bas.

  3. La phrase de marie-france a au moins le don de nous cultiver un peu plus…Définition de wikipedia:

    L’épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d’inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l’épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Il arrive néanmoins que ce terme soit ici utilisé comme synonyme de « philosophie des sciences »[2]. La distinction entre ces différentes acceptions, et notamment le rapport de l’épistémologie à la philosophie des sciences, n’est cependant pas clairement établie[3]. D’autre part, l’épistémologie « continentale » peut également traiter d’objets non scientifiques[4]. Le mot est également employé parfois pour désigner telle ou telle théorie de la connaissance. La différence entre ces deux traditions portera donc sur l’attention portée à la connaissance scientifique plutôt qu’à la connaissance générale.

    Jean Piaget[5] proposait de définir l?épistémologie « en première approximation comme l?étude de la constitution des connaissances valables », dénomination qui, selon Jean-Louis Le Moigne, permet de poser les trois grandes questions :

    Qu?est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ?
    Comment est-elle constituée ou engendrée (la question méthodologique) ?
    Comment apprécier sa valeur ou sa validité ?
    L’enquête épistémologique peut ainsi porter sur plusieurs aspects : les modes de production de la connaissance, les fondements de cette connaissance, la dynamique de cette production. Plusieurs questions en découlent : qu’est ce qu’une connaissance ? Comment est-elle produite? Comment est-elle validée? Sur quoi se fonde-t-elle? Comment les connaissances sont-elles organisées? Comment évoluent-elles (et notamment, progressent-elles?)?

    À cela s’ajoute parfois une dimension normative de l’analyse. Il ne s’agit plus seulement de décrire la connaissance, mais de définir ce qui constitue une « bonne » connaissance.

    Enfin, on doit distinguer une épistémologie générale, qui porte implicitement l’idée d’une certaine unité de la science, des épistémologies particulières, qui reposent sur l’idée d’une pluralité, parfois présentée comme irréductible, des différentes sciences. On parle alors d’épistémologie de la physique, de la biologie, des sciences humaines, …

    Longtemps, l’épistémologie a porté sur le « contenu » de la science, la science en tant qu’institution humaine étant laissée à d’autres disciplines, notamment la sociologie. La question sur la nature de la science se confondait alors avec celle sur la nature de la connaissance scientifique. Ces dernières décennies, ce partage est devenu moins évident, sous l’effet d’une part de certains courants de la sociologie réclamant un « droit de regard » sur ce contenu, sous l’influence d’autre part de certains épistémologues qui jugent nécessaire, pour mieux comprendre la connaissance scientifique, de porter attention aux dimensions concrètes de l’activité scientifique.

  4. Deux bonnes nouvelles ( et pas des truites farios d’avril) qui nous arrivent de la base avancée des pates rana et du désert algérien:

    Embrouilles à SAIPEM, filiale d’ENI (membre du consortium GALSI) et de SNAM-RETAGAS, curieux prestataire du tuyau et pseudo partenaire de grt-gaz dans la pièce de théâtre qui se joue à guichet fermé: Cyrénée de bergerac…

    dna-algerie.com/politique…

    Et…..

    http://www.elwatan.com/weekend/c...

    A deux pas de la place du diamant, on espère à présent une enquête de bruxelles sur la violation de la directive CEE e tune grève de la faim des nanoux pour fin du monopole de 60 ans…

  5. info/intox : il semblerait que le permis de construire de l’agrandissement de l’école et plus particulièrement de la cantine de bastelicaccia soit en bras de fer avec edf et plus précisément concernant l’accès aux terrains concernés pour accueillir la nouvelle centrale. Quelqu’un aurait des informations ? le maire d’ajaccio serait prêt à laisser faire l’installation sur le 6 ter ! et on entend rien.

  6. Henri, c’est:
    http://www.lepost.fr/article/200...

    Petit calcul…1,6M? x 250 mois de travail = financement du galsi…

    Quelle pécadille….1,6 c’est "nibe" sur les 200M? facturés entre edf trading et edf corse.

    Y’a donc pas de quoi fouetter un chat…

  7. info/intox : permis de construire de l’agrandissement de l’école et de la cantine de bastelicaccia / bras de fer avec edf / et accès aux terrains nouvelle centrale.

    La seule info fraiche: Vendredi le Maire d’Ajaccio a répété en public, enfin devant une assemblée venue parler du SCOT, qu’il voulait la nouvelle centrale au Vazzio, sur le site de l’ancienne.

    C’était juste après ma petite réflexion sur l’oubli de la notion de qualité de l’air dans l’élaboration de cette réflexion à vocation territoriale……. CAPA et plus si affinités!

  8. C’était un poisson d’avril!

    Après discussion avec D. Lincot ce soir : on retient un facteur cinq entre la puissance d’une centrale thermique et celle de la centrale solaire équivalente. Donc, pour une centrale de 200 MW, il faut 1 GW solaire. A 2 euros le Wc (optimiste), ça fait 2 milliards d’euros d’investissement. Pas facile à amortir…
    Pour la superficie, à 20 W/m2 en moyenne annuelle (200 W/m2 d’irradiance à 10% de rendement), il faut 5000 hectares. Pas facile à trouver non plus…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *