Venaco spot de la dépollution pourrait bientôt accueillir des curistes – "Fiamma in cita" d’Aiacciu

Venaco spot de la dépollution pourrait bientôt accueillir des curistes – "Fiamma in cita" d’Aiacciu

Balayé Newton et sa découverte de la pesanteur!

Pour Qualitair Corse, Il est en effet possible de mesurer des masses négatives. 

Cela apparait en effet sur le site de l’association agréée comme le montrent les courbes "avant-après" de la pollution en microparticules fines PM 2,5 mesurées lors de la journée du 11 avril 2019:
Sur le graphique de gauche nous avons reproduit la courbe telle qu’elle figure encore sur le site de Qualitair Corse et sur celui de doite le graphique qui correspond aux données retouchées  (les valeurs négatives ont été remplacées par des zéros) tel qu’elles qui apparaissent dans le tableau des valeurs journalières.

Et cette fois encore, le miracle se produit à la station de mesure de Venaco.

Vu que cela ne choque ni les scientifiques ni les autorités en charge de la santé dans l’île, un agréement en tant que station de cure de dépollution est désormais envisageable.  .


EPR de "flamme en ville":Il n’y a pas qu’au Vazzio qu’EDF est remise en cause sur ses dogmes.

Mandaté par l’agence de sureté nucléaire (ASN), l’institut de radioprotection et de sureté nucléaire (IRSN) a remarqué que les échantillons produits par EDF pour démontrer que les soudures réalisées sur des tuyauteries vitales pour le fonctionnement en sécurité du réacteur ne serait pas représentatives des soudures effectivement réalisées sutr le futur site de production.

Et l’IRSN preconiserait de refaire les soudures incriminés, dont certaines sont noyées dans les massifs de béton.

Ce qui consternerait Jean Bernard LEVY qui aurait évoqué un retard sur la date de mise en service et un surcoût…..sans compter le retard à la fermeture de Fessenheim!


Une conjoncture qui n’est pas sans rappeler celle de la future centrale Ricanto, alias Vazzio Bis, les possibles retards à la fermeture de la centrale du Vazzio fin 2023 et les épouvantails agités en rappel de la crise énergétique de 2005.

Quant à son alimentation en gaz naturel, EDF l’a toujours délicatement snobée en indiquant toutefois qu’elle utiliserait ce combustible lorsqu’il arriverait. Et ce n’est pas un caisson en béton à 2 milliards d’euros et 12 ans de réalisation qui vont amener de l’eau à son moulin.

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