Era ora: la France argumente favorablement pour l’instauration d’une zone ECA en Méditerrannée;
Le cout évité pour la santé des populations pourrait être d’au moins 3 fois supérieur au surcout que devraient supporter les armateurs pour passer d’un fioul lourd très polluant à un combustible plus raffiné.
C’est en résumé la conclusion de l’étude ECAMED pilotée par le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, présentée à Marseille ce 18 janvier 2019.
Cette étape reste cependant un préalable à la demande de création d’une zone ECA en Méditerranée qui sera adressée à l’OMI, après que l’UE ait, elle aussi, donné son avis. Avis qui devrait intégrer les probables réticences des iles méditerranéennes tirant profit du grand nombre de pavillons qu’elles abritent.
Aria Linda avait adressé une demande en ce sens au Président de la Commission des Iles au sein de la Conférence des Régions Périphériques Maritimes, l’institution européenne adéquate pour porter une telle démarche.
Consulter l’Etude ECAMED