Avenir énergétique de la Corse : MESTRALLET et/ou PROGLIO?
La question du jour : Quel dirigeant a dit…..
« Le vrai débat, c’est de faire que nos centrales soient sûres et qu’on arrête avec ce terrorisme qui consiste à dire que tout développement, que toute croissance ou que toute création de richesse est en soi un mal »
Est-ce:
Jacques Thierry MONTI,
Henri PROGLIO,
Jean-Louis BORLOO,
Nicolas SARKOZY.
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Merci à Philippe M pour ces deux clichés pris vers 17h15, l’un alors qu’il était situé à un point d’observation côté CCA, l’autre alors qu’il était situé à un point d’observation côté ACA.
Ces deux clichés nous montrent que la perception que l’on a d’un panache est très différente selon où l’on se trouve.
…..il en va de même pour la sensation de terrorisme environnemental.
Le bilan d’étape du Député Européen……
Alors qu’il siège depuis bientôt deux ans au Parlement Européen, le Député Européen d’Europe Ecologie Les Verts,
a organisé une réunion-débat ce jeudi 09 juin 2011, à 18h30 au Palais des Congrès d’Ajaccio.
Cette réunion a été l’occasion pour lui de présenter son premier bilan de mandature, et de répondre aux questions que les participants ont posé sur les sujets qui leur tiennent à cœur, sur l’Europe et sur l’avenir de la Corse en Europe.
Le bilan du Député.
Des questions qui ont notamment porté sur l’avenir énergétique de la Corse suite à une rencontre de François ALFONSI avec M. PONS, dirigeant d’EDF. Il y a été question de l’avenir gazier de la Corse et de la possibilté d’alimenter les centrales au GNL par barges, si le GALSI ne devait pas être réalisé.
Il semblerait que la réponse soit (encore et toujours) entre les mains de la CRE…….. Une commission de régulation de l’énergie dont Michelle RIVASI, autre Député Européeen, a relevé la "forte consanguinité" avec EDF.
L’avenir gazier de la Corse serait donc entre les mains d’EDF?
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Energie : un front commun des régions insulaires
Depuis le début de la semaine se déroule en Corse un voyage d’étude des élus et responsables de l’énergie de la Réunion, la Guadeloupe et la Martinique. Le but est de réfléchir ensemble sur la problématique de l’énergie et notamment des énergies renouvelables dans des régions qui, par définition, ne sont pas interconnectées. Chaque île est donc venue présenter sa propre expérience en matière énergétique et, ça s’est largement dégagé de tous les débats, chacune a affirmé son attachement à la définition d’une sorte de front commun énergétique. Les insulaires, de Méditerranée ou d’ailleurs, pensent que les directives nationales en matière d’énergie, et notamment renouvelables, ne sont pas adaptées à ces régions. Chacune, ça a été largement affirmé, doit tendre, grâce au mixage de plusieurs solutions qui lui sont propres, vers l’autosuffisance énergétique. Les associations ont participé ce mercredi au séminaire qui s’est déroulé à l’Assemblée de Corse.
Jean-Nicolas Antoniotti, pour Aria Linda nous dit ce qu’il pense de la démarche.
Alex Bertocchini – Alta Frequenza
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Terrorisme environnemental dans la baie d’Ha Long?
Non, on est juste dans la baie d’Ajaccio où un bateau démarre, tout près du jardin d’enfants Elisa.
3 réflexions sur « Avenir énergétique de la Corse : MESTRALLET et/ou PROGLIO? »
Quand quelques dizaines de personnes meurent rapidement du fait d’une intoxication alimentaire, alors les autorités politiques et sanitaires se bougent pour trouver l’origine de la bactérie tueuse… les médias amplifient le drame en cours et alertent les populations, et les citoyens se mettent aussitôt à boycotter les produits incriminés à tort ou à raison, mais quand des milliers de gens meurent chaque année prématurément du fait de la pollution industrielle et urbaine, alors les autorités trouvent ça presque normal, les médias ne s’alarment pas plus que cela, car "c’est dans l’ordre des choses" on ne va tout de même pas remettre en question tout le système! Donc on continue à polluer, on habitue les gens au fait qu’on n’y peut rien, on minimise, on fatalise, on cherche mollement des solutions moins polluantes. De toutes facons, quand quelqu’un décède de causes environnementales, le rapport de cause à effet n’est pas toujours évident à établir, donc "on" n’en parle le moins possible, parce qu’il ne faut pas "inquiéter" la population.
C’est d’ailleurs la réponse qu’avait fait le Préfet Leyrit lors d’un Cuntrastu pour justifier le fait qu’il n’ait consulté quasiment personne avant d’annoncer sa décision que la nouvelle centrale serait à BASTELICACCIA et au fioul lourd !
Dans cette affaire, le préfet Leyrit avait joué le rôle du cheval de Troie. Un peu comme Borloo avec les autorisations d’exploiter les gaz de schiste. Après, le mal est fait, c’est très difficile de revenir en arrière!
Le préfet Bouillon, quant à lui, a voulu jouer au plus fin avec la population. Il a fait semblant de tout remettre en question ("je ne me sens pas engagé par les choix de mon prédécesseur") , et au final, on se retrouve quasiment au même point : rebelote avec le site de BASTELICACCIA et une promesse de "gaz" – comme si ça excusait le choix aberrant du site effectué à nouveau sans aucune consultation des populations concernées! – et un gaz qui ressemble fort à du fioul lourd, vu qu’il n’y a pas de gaz à l’horizon et que la seule conduite prévue dans l’arrêté est une canalisation de fioul pour des moteurs diesel !
seimandi, on dirait eagle 4 dans "the garant" et pas les "varans", oh zitelliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Eagle 4 dont la traduction en français donne Aigle 4, est en fait le surnom donné par ses agents à un ancien célèbre patron des services secrets français réputé avoir une grande gueule.
En fait, en anglais "eagle four" ça donne prononcé en français " y gueule fort "
Bien que ne bossant pas avec lui, je n’ai pas l’impression que le chef du projet Cyrénée, le projet de raccordement à l’Arlésien projet de gazoduc GALSI mérite ce surnom.
Je trouve qu’il sied mieux à la dame de fer de l’équipe des garants!